Récits de vie, dire l’indicible
Un article qui met en perspective deux récits de vie, celui de Vanessa Springora “Le consentement”, largement médiatisé (à raison !) et celui d’Ève Ensler dont la traduction vient de paraître sous le titre “Pardon” qui lui aussi met en scène “l’abuseur”.
Au-delà du sujet, terrible chemin de vie, terrible récit de l’une, de l’autre, Nathalie Frogneux auteure de l’article, dépeint et confronte les modes d’écriture du récit de vie. Récit de “vie” qui, lorsqu’on aborde ce sujet de l’abus, du viol peut être très paradoxale.
Je vous laisse lire, ce texte et vous invite à lire, bien entendu ces deux récits.
Par Nathalie Frogneux, Faculté de Philosophie, arts et lettres, Institut supérieur de Philosophie
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Par Nathalie Frogneux, Faculté de Philosophie, arts et lettres, Institut supérieur de Philosophie.
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